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基督山伯爵中法對照36

  Albert avait raison. La belle inconnue avait résolu sans doute de ne pas pousser plus loin l'intrigue ce jour là ; car, quoique les jeunes gens fissent encore plusieurs tours, ils ne revirent pas la calèche qu'ils cherchaient des yeux : elle avait disparu sans doute par une des rues adjacentes.

  Alors ils revinrent au palais Rospoli, mais le comte aussi avait disparu avec le domino bleu. Les deux

  fenêtres tendues en damas jaune continuaient, au reste, d'être occupées par des personnes qu'il avait sans doute invitées.

  En ce moment, la même cloche qui avait sonné l'ouverture de la mascherata sonna la retraite. La file du Corso se rompit aussitôt, et en un instant toutes les voitures disparurent dans les rues transversales.

  Franz et Albert étaient en ce moment en face de la via delle Maratte.

  Le cocher l'enfila sans rien dire, et, gagnant la place d'Espagne en longeant le palais Poli, il s'arrêta devant l'hôtel.

  Maître Pastrini vint recevoir ses hôtes sur le seuil de la porte.

  Le premier soin de Franz fut de s'informer du comte et d'exprimer le regret de ne l'avoir pas repris à temps, mais Pastrini le rassura en lui disant que le comte de Monte-Cristo avait commandé une seconde voiture pour lui, et que cette voiture était allée le chercher à quatre heures au palais Rospoli. Il était en outre chargé, de sa part, d'offrir aux deux amis la clef de sa loge au théâtre Argentina.

  Franz interrogea Albert sur ses dispositions, mais Albert avait de grands projets à mettre à exécution avant de penser à aller au théâtre ; en conséquence, au lieu de répondre, il s'informa si maître Pastrini pourrait lui procurer un tailleur.

  « Un tailleur, demanda notre hôte, et pour quoi faire ?

  - Pour nous faire d'ici à demain des habits de paysans romains, aussi élégants que possible », dit Albert.

  Maître Pastrini secoua la tête.

  « Vous faire d'ici à demain deux habits ! s'écria-t-il, voilà bien, j'en demande pardon à Vos Excellences, une demande à la française ; deux habits ! quand d'ici à huit jours vous ne trouveriez certainement pas un tailleur qui consentît à coudre six boutons à un gilet, lui payassiez-vous ces boutons un écu la pièce !

  - Alors il faut donc renoncer à se procurer les habits que je désire ?

  - Non, parce que nous aurons ces habits tout faits. Laissez-moi m'occuper de cela, et demain vous trouverez en vous éveillant une collection de chapeaux, de vestes et de culottes dont vous sera satisfaits.

  - Mon cher, dit Franz à Albert, rapportons-nous-en à notre hôte, il nous a déjà prouvé qu'il était homme de ressources ; dînons donc tranquillement, et après le dîner allons voir l'Italienne à Alger.

  - Va pour l’Italienne à Alger, dit Albert ; mais songez, maître Pastrini, que moi et monsieur, continua-t-il en désignant Franz, nous mettons la plus haute importance à avoir demain les habits que nous vous avons demandés. »

  L'aubergiste affirma une dernière fois à ses hôtes qu'ils n'avaient à s'inquiéter de rien et qu'ils seraient servis à leurs souhaits ; sur quoi Franz et Albert remontèrent pour se débarrasser de leurs costumes de paillasses.

  Albert, en dépouillant le sien, serra avec le plus grand soin son bouquet de violettes : c'était son signe de reconnaissance pour le lendemain.

  Les deux amis se mirent à table ; mais, tout en dînant, Albert ne put s'empêcher de remarquer la différence notable qui existait entre les mérites respectifs du cuisinier de maître Pastrini et celui du comte de Monte-Cristo. Or, la vérité força Franz d'avouer, malgré les préventions qu'il paraissait avoir contre le comte, que le parallèle n'était point à l'avantage du chef de maître Pastrini.

  Au dessert, le domestique s'informa de l'heure à laquelle les jeunes gens désiraient la voiture. Albert et Franz se regardèrent, craignant véritablement d'être indiscrets. Le domestique les comprit.

  « Son Excellence le comte de Monte-Cristo, leur dit-il, a donné des ordres positifs pour que la voiture demeurât toute la journée aux ordres de Leurs Seigneuries ; Leurs Seigneuries peuvent donc disposer sans crainte d'être indiscrètes. »

  Les jeunes gens résolurent de profiter jusqu'au bout de la courtoisie du comte, et ordonnèrent d'atteler, tandis qu'ils allaient substituer une toilette du soir à leur toilette de la journée, tant soit peu froissée par les combats nombreux auxquels ils s'étaient livrés.

  Cette précaution prise, ils se rendirent au théâtre Argentina, et s'installèrent dans la loge du comte.

  Pendant le premier acte, la comtesse G... entra dans la sienne ; son premier regard se dirigea du côté où la veille elle avait vu le comte, de sorte qu'elle aperçut Franz et Albert dans la loge de celui sur le compte duquel elle avait exprimé, il y avait vingt-quatre heures, à Franz, une si étrange opinion.

  Sa lorgnette était dirigée sur lui avec un tel acharnement, que Franz vit bien qu'il y aurait de la cruauté à tarder plus longtemps de satisfaire sa curiosité ; aussi, usant du privilège accordé aux spectateurs des théâtres italiens, qui consiste à faire des salles de spectacles leurs salons de réception, les deux amis quittèrent-ils leur loge pour aller présenter leurs hommages à la comtesse.

  A peine furent-ils entrés sans sa loge qu'elle fit signe à Franz de se mettre à la place d'honneur.

  Albert, à son tour, se plaça derrière.

  « Eh bien, dit-elle, donnant à peine à Franz le temps de s'asseoir, il paraît que vous n'avez rien eu de plus pressé que de faire connaissance avec le nouveau Lord Ruthwen, et que vous voilà les meilleurs amis du monde ?

  - Sans que nous soyons si avancés que vous le dites dans une intimité réciproque, je ne puis nier, madame la comtesse, répondit Franz, que nous n'ayons toute la journée abusé de son obligeance.

  - Comment toute la journée ?

  - Ma foi, c'est le mot : ce matin nous avons accepté son déjeuner, pendant toute la mascherata nous avons couru le Corso dans sa voiture, enfin ce soir nous venons au spectacle dans sa loge.

  - Vous le connaissez donc ?

  - Oui et non.

  - Comment cela ?

  - C'est toute une longue histoire.

  - Que vous me raconterez ?

  - Elle vous ferait trop peur.

  - Raison de plus.

  - Attendez au moins : que cette histoire ait un dénouement.

  - Soit, j'aime les histoires complètes. En attendant, comment vous êtes vous trouvés en contact ? qui vous a présentés à lui ?

  - Personne ; c'est lui au contraire qui s'est fait présenter à nous.

  - Quand cela ?

  - Hier soir, en vous quittant.

  - Par quel intermédiaire ?

  - Oh ! mon Dieu ! par l'intermédiaire très prosaïque de notre hôte !

  - Il loge donc hôtel d'Espagne, comme vous ?

  - Non, seulement dans le même hôtel, mais sur le même carré.

  - Comment s'appelle-t-il ? car sans doute vous savez son nom ?

  - Parfaitement, le comte de Monte-Cristo.

  - Qu'est-ce que ce nom-là ? ce n'est pas un nom de race.

  - Non, c'est le nom d'une île qu'il a achetée.

  - Et il est comte ? [1][2][3][4][5][6][7][8]

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